Le président de la République a appelé à défendre « le message de la liberté » et salué les victimes de l'attentat, « nos héros ».
Le choc, la sidération. Puis la réaction, rapide. Bottes
timberland Une heure à peine après l'attaque terroriste contre Charlie Hebdo, François Hollande a précipitamment quitté l'Élysée pour se rendre sur les lieux de l'attentat, annulant dans la foulée plusieurs rendez-vous. Devant les locaux encore ensanglantés du journal satirique, encadré d'un service de sécurité renforcé, le président de la République a dénoncé «un acte d'une exceptionnelle barbarie» et appelé à «l'unité nationale». Très vite, il a levé les doutes qui pouvaient encore subsister sur l'acte: «La France est aujourd'hui devant un choc, un choc qui est celui d'un attentat car c'est un attentat terroriste, ça ne fait pas de doute.»
Mercredi soir, depuis l'Élysée, le chef de l'État s'est adressé à la nation dans un cadre plus officiel. «La France a été attaquée en son cœur, à Paris, dans les locaux d'un journal, a commencé le chef de l'État avant de rendre hommage aux dessinateurs et policiers morts dans l'attaque. Nike
TN Ce sont aujourd'hui nos héros (…) Je veux leur dire que ce message de la liberté, nous continuerons à le défendre en leur nom. C'est pourquoi demain sera une journée de deuil national.»
Pour François Hollande, «c'est la République tout entière qui a été agressée (…) c'est l'idéal de justice et de paix que la France porte partout sur la scène internationale». Le président a ensuite rappelé que le plan Vigipirate avait été placé à son niveau d'alerte maximal. Et il a lancé un appel à l'unité nationale. «Nous devons être nous-mêmes conscients que notre meilleure arme, c'est notre unité. Rien ne peut nous diviser, Nike
Ninja rien ne peut nous opposer, rien ne peut nous séparer (…) La liberté sera toujours plus
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