En septembre 2011, Nicolas Sarkozy était acclamé à Benghazi par une foule venue le remercier d'avoir contribué à libérer la Libye du joug de Kadhafi. Quinze jours plus t?t, une journaliste du Wall Street Journal avait réussi à entrer dans le QG déserté du centre de surveillance et d'espionnage des services secrets libyens. Il avait photographié un document qui montrerait que le lieu a été con?u et installé par une entreprise fran?aise, Amesys. nike roshe run zalando Dans le cadre du rapprochement entre la France et la Libye voulu par Nicolas Sarkozy quelques années auparavant,Nike Tn Ziad Takieddine, le sulfureux intermédiaire franco-libanais, aurait en effet vendu à Abdallah Senoussi, beau-frère de Kadhafi et chef des services de renseignement libyens, un système de "surveillance de masse" de l'internet,nike tn en belgique "à l'échelle d'un pays". Senoussi avait pourtant été condamné à la réclusion à perpétuité par la justice fran?aise pour son implication dans le plus grave attentat terroriste qui ait jamais visé la France, l'attentat du DC-10 d'UTA, qui avait fait 170 morts,Nike Tn dont 54 Fran?ais, en 1989. Des systèmes espions qui portent des noms de bonbons Le journaliste Jean-Marc Manach, coauteur du documentaire de "Cash Investigation" Le business de la peur, a enquêté sur cette affaire. Il a aussi découvert que la directrice de la communication du marchand d'armes de surveillance numérique n'était autre que la fille du ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy, que l'équipe qui avait installé le système espion s'en était vanté sur le web, sans se cacher,nike roshe run 6.5 et qu'ils avaient même été jusqu'à donner, comme noms de code de leurs systèmes espions, des... noms de bonbons. En mode fiction, cette histoire n'aurait jamais été jugée crédible. Sauf que tout est vrai. La Revue Dessinée avait proposé à Jean-Marc Manach d'en faire un reportage,Nike Requin Futuropolis lui a demandé d'y consacrer une BD, en y racontant aussi ce que les révélations.
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